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Dans les coulisses d'Ekkora, de l'idée au projet.

  • 7 déc.
  • 3 min de lecture

Aujourd’hui, j’ai envie de t’emmener dans les coulisses d’Ekkora, ce compagnon que j’ai créé pour guider les femmes vers une année plus juste, plus consciente, plus alignée.

Un projet né d’une graine semée au cœur de l’été.



L’idée a émergé fin août, sur les routes d’Andalousie.

À ce moment-là, j’étais encore en poste dans mon hôtel, avec la certitude que j’arrêterais fin septembre pour réouvrir mon cabinet. Pression, transition, fatigue extrême… et une seule semaine de vacances en famille, loin de tout. J’ai passé le premier jour à dormir. J’étais vidée.

Puis, au troisième jour, mon espace intérieur s’est rouvert. J’ai commencé à imaginer la suite :

“Mon cabinet… oui. Mais comment ? Comme avant ? Non. Je ne suis plus la même. J’ai envie de plus. De contribuer davantage.”


Pendant des années, j’ai accompagné des personnes qui me consultaient pour une douleur ou un désordre physique… et finissaient par me confier qu’elles vivaient “à côté de leur vie”.

Dans mon entourage aussi, souvent le même refrain :

“J’aimerais changer, mais je ne sais pas comment.”

“Je ne sais plus ce dont j’ai envie.”

“Je sens que je dois lâcher quelque chose … mais quoi ?”

“J’ai peur.”


La peur : je la connais. Elle me traverse comme tout le monde. Mais j’ai développé, presque intuitivement, des manières de marcher avec elle : revenir à mon espace intérieur comme à une safe place, m’appuyer sur la méditation, m’observer avancer, même lentement, même tremblante…

et surtout me répéter : “Je suis capable.”


Alors une question a germé : Qu’est-ce qui m’aide, moi, à ne pas laisser la peur, le doute ou la fatigue m’empêcher d’avancer vers mes rêves ?

La réponse tenait en quelques mots : un fil, une structure, un rythme à respecter. Un support qui me guide sans me brusquer, qui respecte mon rythme et mes cycles. Un chemin avec une vision d’ensemble, des étapes, du sens, et de la douceur. Une prise en compte de mon corps et de mes émotions.





C’est là qu’Ekkora est apparu. Un carnet sur un an, pensé comme un compagnon :

  • pour revenir à soi,

  • avancer à son propre rythme,

  • écouter son cœur,

  • voir ses avancées mois après mois,

  • se remettre en mouvement quand on doute.

Un carnet qui tient la main des femmes qui veulent se réaligner, oser, transformer, sans s’épuiser et sans se perdre.


On m’a demandé d’où vient ce nom. Lui aussi est né sur les routes d'Andalousie.

Ekkora, c’est l’écho du cœur  (Ekko + Kora).

Parce que je suis convaincue que la capacité d’évoluer, de créer, de se réinventer existe en chaque femme, mais que le quotidien met parfois un couvercle sur cette voix intérieure. Ekkora soulève ce couvercle.

Il amplifie ce murmure pour en faire une voix claire, forte, assumée.


Cette idée née en Espagne, je l’ai gardée au chaud jusqu’à la fin de mon poste au début de l'automne. Puis je l’ai laissée infuser à Bali, où je suis partie me ressourcer avec deux amies, sans la presser. Quand je suis rentrée en France mi-octobre, tout était là : structuré, limpide, prêt. Alors je me suis mise au travail.

Ekkora est ainsi né dans une fluidité rare, avec la sensation de créer quelque chose qui avait déjà décidé d’exister, et de contribuer à mon échelle à laisser éclore ce que les femmes ont dans le cœur.


Parce que je crois profondément qu’une femme en mouvement est une femme puissante. Et que le monde a besoin, plus que jamais, de cette puissance douce, lucide, et créatrice.

Infos pratiques


  • Ekkora est actuellement en pré-commande : inscris-toi ici

  • Sortie officielle dans la semaine du 8 décembre, avec un tarif early bird jusqu’au 20 décembre

  • Les 50 premières commandes recevront un bonus exclusif

  • Pré-commande conseillée pour être informée en priorité et bénéficier du tarif préférentiel


Ce que j'ai appris en réalisant ce projet :

Voici ce que je retiens de la manière dont les idées naissent et prennent forme.

  • J’ai compris que la créativité ne surgit pas dans la contrainte, ni sous pression, ni dans la fatigue extrême. Les plus belles idées apparaissent quand on a fait de la place à l’intérieur, quand on se donne le temps de respirer et de simplement laisser infuser.

  • Il n’est pas nécessaire de contrôler, de pousser ou de forcer : parfois, il suffit de laisser reposer, de marcher, de respirer… et un matin, tout devient clair et limpide. La route est tracée, et il n’y a plus qu’à se laisser guider.

  • Et surtout, j’ai appris à faire confiance à ce qui fait battre le cœur et frissonner l’âme : quand une idée te donne des papillons dans le ventre, ne réfléchis pas trop… c’est la bonne !



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