top of page
  • Black Facebook Icon
  • Noir Icône Instagram

Le rituel du bilan : clôturer une année sans s’épuiser

  • il y a 3 jours
  • 3 min de lecture

On parle beaucoup des bilans en fin d’année. De leur importance, de ce qu’il faudrait analyser, corriger, améliorer. Et bien souvent, cela ressemble surtout à une injonction de plus, dans une période où l’énergie est déjà basse.

Ce dont j’ai envie de te parler aujourd’hui, ce n’est pas d’une obligation supplémentaire, mais d’un rituel de clôture. Un geste doux, simple, essentiel. Pour moi, un véritable acte d’hygiène émotionnelle.



Ce qui n’est pas clôturé se répète

Dans mon cabinet, je le constate chaque jour : ce qui n’est pas regardé, intégré, clôturé proprement continue d’agir en arrière-plan. Cela crée des interférences avec le présent, de la fatigue et t'empêche d'avancer sereinement. Une émotion non digérée, une situation non intégrée, une année jamais réellement refermée…tout cela continue de solliciter ton énergie.



Une image pour comprendre

J’aime beaucoup les images, parce qu’elles parlent au corps autant qu’à l’esprit.

Avancer sans bilans réguliers, pour moi, c’est comme demander à ton GPS de t’emmener au point B, sans lui avoir indiqué précisément où tu te trouves maintenant.

Tu finiras peut-être par arriver à destination, mais au prix de combien de détours inutiles ? De fatigue ? De confusion ?

Le bilan ne sert surtout pas à juger le chemin. Il sert à savoir d’où tu pars.


Femme écrivant dans un carnet, assise sur une plage, évoquant un rituel de bilan et de transformation intérieure.

Le bilan comme rituel, pas comme analyse

Un vrai rituel de clôture n’est pas une analyse mentale de plus. Ce n’est dresser avec regret et amertume la liste de tes loupés, ni un inventaire de ce qui “aurait dû être différent”.

C’est un rendez-vous avec toi-même.Un temps de présence où tu écoutes :

  • ce qui t’a nourrie

  • ce qui t’a fait grandir

  • ce qui t’a épuisée

  • ce qui n’a plus sa place

Ce n’est pas un espace de jugement ou de regret. C’est un espace d’intégration et de tri.



Quand faire un bilan ?

On associe souvent le bilan à la fin décembre et c'est vrai que c'est une période propice.

Mais en réalité, la meilleure période est celle que tu choisis, celle que tu sens.

À titre personnel, mon rituel de pré-rentrée en septembre est presque aussi important que celui de décembre. Parce que la vie est cyclique, et que certains passages demandent à être honorés à d’autres moments.



Un mini-rituel simple pour cette semaine

Je te propose un petit pas, accessible et transformateur.

Prends 10 minutes, une feuille et un stylo (ou les notes de ton téléphone), et réponds, sans trop réfléchir, à ces trois questions :

  • Qu’est-ce qui m’a le plus fatigué.e cette année ?

  • Qu’est-ce qui m’a réellement soutenu.e ?

  • Qu’est-ce que je ne veux plus emporter avec moi ?


Arrête-toi là.

Ce n’est pas un plan d’action, ni une projection, c’est une clôture propre.

Tu libères ainsi de l'espace et tu allumes la lumière dans ton esprit.

Et je te fais une promesse : c’est souvent à ce moment-là que l’énergie commence à revenir.



Honorer les passages

Il n'y a pas grand chose d'urgent dans la vie. Je veux dire : réellement urgent. Mais je crois que certaines choses méritent d’être honorées.

C’est dans cet esprit que j’ai créé Ekkora – Mon écrin de transformation : un chemin guidé, cyclique, structuré, un rendez-vous régulier avec toi-même pour accompagner les passages, les bilans, les renaissances (la vie quoi !), au rythme du vivant et de chacune.


Et si tu ressens l’élan de préparer 2026 autrement, en rendez-vous individuel avec moi, sache que toutes les réservations prises avant le 31/12 se font encore aux tarifs actuels, même si le rendez-vous a lieu en 2026.

Parce qu’une transformation ne se force pas. Elle s’accompagne.

Commentaires


bottom of page